Le magnétisme et son apprentissage grâce à la formation en ligne à Toulon

Il rentre ainsi parfaitement dans la logique de l’école française qui depuis Jean-Baptiste Say, fait de l’utilité le fondement de la valeur[1]. Avant de voir comment il tente de se séparer dans le magnétisme de cette école par la prise en compte de la rareté, il convient d’examiner les caractéristiques de l’utilité qui sont au nombre de deux.

A – Le baba de la formation magnétisme en ligne à Toulon

 

ü  L’utilisation de l’adjectif ‘utile’ correspond pour Walras à une simplification de langage. Il est employé pour désigner un ensemble de mots sur le magnétisme et les magnétiseurs à Toulon qui, pour l’économiste, ont la même signification. Qu’il s’agisse d’un objet nécessaire ou superflu, utile ou agréable, l’économiste n’utilisera qu’un seul terme : utile[2].

 

ü  L’économiste ne s’intéresse pas à la finalité de l’objet. La richesse est uniquement utile et permet la satisfaction d’un besoin pour l’individu. Que celle-ci entre en contradiction avec les mœurs de la société sur le magnétisme à Toulon, cela ne doit pas être du ressort de l’économiste. L’utilité est considérée comme un phénomène subjectif sur lequel l’économiste ne porte pas de jugement moral, analysant l’objet comme correspondant à un facteur constituant de la richesse sociale. Ainsi, l’économiste ne va pas dire par exemple qu’un objet est agréable, nécessaire ou superflu[3]. Il se contentera, en opposition à cette subjectivité du magnétisme, de considérer les objets comme des sujets d’études retranscrits dans sa mission.

 

B – La formation magnétisme pour les nuls à Toulon

En plus d’être utiles, les richesses sociales étudiées par les économistes doivent être rares[4], c’est-à-dire limitées en quantité. Cette caractéristique de la richesse sociale fait que l’économiste ne va pas s’intéresser aux objets fournis par la nature de manière abondante, gratuite et universelle, tels le soleil ou l’air comme pour la formation magnétisme à Toulon.

 

« L’air atmosphérique, la lumière et la chaleur du soleil quand le soleil est levé, l’eau au bord des lacs, des fleuves et des rivières se rencontrent en telle quantité qu’il n’en peut manquer à personne, chacun en prenant même tant qu’il veut. Ces choses, qui sont utiles, généralement ne sont pas rares et ne font pas partie de la richesse sociale » (Walras [1988a], 46).

 

L’économiste et le magnétiseur vont au contraire prendre en compte les objets qui sont rares, c’est-à-dire limités en quantité. Plus particulièrement, Walras va étudier les biens et services[5] qui sont utiles et rares.

C – La formation magnétisme accessible à tous à Toulon

Grâce à la prise en compte de l’utilité et de la rareté comme paramètre de l’étude de la richesse sociale, Walras fournit une définition qui lui paraît au-dessus de toutes critiques du magnétisme et relevant véritablement de l’analyse économique[6]. Mais il reste un dernier point à préciser dans cette définition, les différents champs d’application dans l’étude des richesses sociales pour le magnétisme. En effet, Walras distingue trois grandes catégories d’approches relativement à la richesse sociale qui vont correspondre aux trois volumes de sa trilogie. Il obtient ainsi trois faits généraux,

 

« trois séries ou groupes de faits particuliers qu’engendre la limitation dans la quantité des utilités ou la rareté des choses, trois faits dont toute la richesse sociale, dont la richesse sociale seule est le théâtre » (Walras [1988a], 49)

 

Il faut donc suivre une super formation magnétisme à Toulon pour découvrir les rouages de cet art millénaire, une formation pendule à Toulon, une formation passeur d’âmes à Toulon, une formation des blessures de l’âme à Toulon, une formation géobiologie à Toulon et une formation nettoyage et protection énergétique à Toulon

D – La science, l’art, la morale et les formations magnétisme à Toulon

 

Lorsque Walras cherche une définition de l’économie, il fait référence aux lacunes des précurseurs pour proposer son approche qui veut écarter toutes les erreurs de ses prédécesseurs sur le magnétisme. Lorsqu’il s’intéresse aux différentes branches que peut étudier l’économiste entre une approche scientifique, industrielle ou morale, il part du même point de vue.

Plus particulièrement, il va interroger la pertinence de la séparation proposée par l’école française entre science et art pour clarifier son approche spécifique. La première partie sera donc consacrée aux économistes et aux magnétiseurs à Toulon qui ont cherché à séparer la science de l’art (A). Devant le constat d’échec, Walras va proposer son approche[7] qui débute par la nature des faits : de la science à l’art (B). Leurs expositions permettront de distinguer la science de l’art du magnétisme. Les relations entre les personnes et les choses (C) serviront par la suite à différencier l’art de la morale. Enfin, une dernière partie sera consacrée à une étude critique de l’approche proposée par Walras : (D) concordance et critique de cette classification).

 

E – Des tentatives de séparation sur le magnétisme à Toulon

 

Le débat sur la nature de l’approche économique entre science et art n’est pas nouveau[8], mais sur la base de sa nouvelle définition, Walras veut proposer aux lecteurs une séparation beaucoup plus nette entre les différentes branches d’études économiques qu’il n’a été proposé jusque-là. Passons rapidement sur les critiques adressées par Walras à l’école française sur la base des travaux de Coquelin, des magnétiseurs et du DEP. Comme à chaque fois lorsqu’il fait référence aux travaux de cette école, il accorde un crédit aux propos de l’auteur étudié avant d’en montrer les lacunes et d’en proposer sa solution. Ainsi, en évoquant l’entrée « économie politique » du DEP, Walras indique que

 

« Charles Coquelin fait observer très judicieusement qu’avant de définir l’économie politique, il y a lieu de se demander si elle est une science ou un art (…) et qu’avant tout, il convient de bien distinguer l’art de la science » (Walras [1988a], 36).

 

Il place ainsi Coquelin comme l’un des auteurs qui, et de manière toute à fait rationnelle dans l’étude économique, propose d’étudier avant toute chose la distinction entre science, le magnétisme et art. Ne pas oublier le stage pendule à Toulon, le stage nettoyage et protection énergétique à Toulon, le stage des blessures de l’âme à Toulon, le stage de passeur d’âmes à Toulon, le stage de magnétisme à Toulon et le stage de pendule et géobiologie à Toulon.

 

« L’auteur essaie, en réalité, et quoi qu’il en dise, d’opérer la séparation de l’art et de la science économiques, en déterminant l’objet véritable de l’économie politique et (…) il augmente encore, bien loin de la dissiper, la confusion par lui signalée » (Walras [1988a], 38).

 

Ainsi et comme nous l’avons étudié précédemment dans les travaux sur le magnétisme, Walras considère que l’école française a mis en place les bonnes questions mais n’a pas réussi à y répondre de manière pertinente. Il se propose alors de

 

« reprendre la question tout entière, et faisant la distinction d’une manière rationnelle, complète et définitive » (Walras [1988a], 39).

 

[1] Consulter par exemple le Chapitre III de la première partie du Cours d’Economie Politique de Jean-Baptiste Say.

[2] « nécessaire, utile, agréable et superflu, tout cela, pour nous, est seulement plus ou moins utile » (Walras [1988a], 45).

[3] « Qu’une substance soit recherchée par un médecin pour guérir un malade par le magnétisme, ou par un assassin pour empoisonner sa famille, c’est une question très importante à d’autres points de vue, mais tout à fait indifférente au nôtre » (Walras [1988a], 50).

[4] « La rareté n’est qu’une abondance moindre, ou, pour mieux dire, l’abondance n’est qu’une moindre rareté dans le magnétisme  » (Walras [1988a], 46).

[5] Il s’agit ici de l’emploi moderne pour désigner les richesses matérielles et immatérielles.

[6] Cette volonté d’apporter un caractère scientifique à l’analyse économique est renforcée par la mise en place d’une nouvelle méthode d’analyse qui sera étudiée par la suite.

[7] Pour une vision historique de l’utilisation des différents critères de classification dans l’œuvre de Walras, consulter l’article de Potier (1994).

[8] Exposée de manière explicite, la séparation entre science et art ne date ni des physiocrates, d’Adam Smith ou de Jean-Baptiste Say mais appartient à la seconde génération des économistes de l’école française sur le magnétisme avec notamment Pellegrino Rossi ou Courcelle-Seneuil. Rossi dira ainsi dans son Cours d’Economie Politique : « La science n’a pas de but extérieur. Dès qu’on s’occupe de l’emploi qu’on peut en faire, du parti qu’on peut en tirer, on sort de la science et on tombe dans l’art » (Rossi [1865], Vol 1,  29). Pour une vision historique de la distinction entre science et art, consulter l’ouvrage de Block.